Quelques bonnes histoires qui nous ont fait rire…
« À la différence du cynisme, la plaisanterie du chrétien ne verse jamais dans la méchanceté ou la moquerie. Elle constitue l’art de repérer les défauts de notre temps, de les relativiser, de s’en distancier pour suivre le Christ d’un pas plus léger. »
Mgr Dominique Rey
Un maire décide de faire repeindre la façade de la mairie.
Il lance un appel d’offres.
On lui présente 3 devis : un Breton, un Basque et un Marseillais.
Le devis du Breton s’élève à 3 millions d’Euros, celui du Basque à 6 millions, et celui du Marseillais à 9 millions.
Devant de telles différences, il convoque les trois entrepreneurs séparément, pour qu’ils détaillent leurs estimations !
Le Breton dit qu’il utilise de la peinture acrylique pour extérieurs en deux couches pour 1 million, pour les échafaudages, les brosses, équipements divers et assurances : 1 million, et le million restant c’est la main d’œuvre.
Le Basque justifie son devis en disant qu’il est meilleur peintre, qu’il utilise des peintures de polyuréthane en trois couches, dont le coût s’élève à 3 millions. Les échafaudages et autres matériels, équipements et assurances coûtent 2 millions, et le million restant c’est la main d’œuvre.
Le dernier est celui qui gagne finalement l’appel d’offres, le Maire estime qu’il présente le devis le mieux justifié.
Le Marseillais lui a présenté comme suit :
« Monsieur le Maire : 3 millions pour vous, 3 autres pour moi, et les 3 restants, nous les donnons au Breton pour qu’il nous peigne la façade. »
TOUTE RESSEMBLANCE AVEC LA VIE POLITIQUE (ou de l’entreprise) DE TA COMMUNE EST PURE COÏNCIDENCE ! ! !
Trois mamans juives sont assises sur un banc dans un square en tricotant, pour une fois silencieuses.
Au bout d’un moment, la première pousse un soupir…
Après un moment la deuxième pousse un GROS soupir…
— Ah NON ! s’écrie la troisième, on avait dit qu’on ne parlait pas des enfants !!
Trois mères juives sur une plage parlent de leurs rejetons.
La première annonce :
— « Mon fils, il m’aime tellement qu’il a renouvelé toute ma garde-robe !
La seconde déclare :
— « Moi c’est mieux : mon fils, il est venu chez moi la semaine dernière ; il m’aime tellement qu’il m’a renouvelé tout mon mobilier.
La troisième ne dit rien et sourit. Alors les deux autres se tournent vers elle et lui demandent :
— « Et toi ?
— « Moi, c’est encore mieux : mon fils…. il va trois fois par semaine chez un monsieur qu’il paye TRÈS cher, et il ne lui parle que de moi !
Un chauffeur avait un jour mis cette pancarte dans son autobus :
« Il vaut mieux être en retard dans ce monde qu’en avance dans l’autre !! »
Mme Zetlaoui est invitée à dîner chez son fils, David, étudiant.
David partage son logement avec une autre étudiante, Sarah.
Comme c’est la première fois qu’elle est invitée et qu’elle ne voit pas son fils très souvent (après tous les sacrifices qu’elle a fait pour lui !), Mme Zetlaoui essaie de ne pas se montrer indiscrète, mais, pendant toute la soirée, elle observe David et Sarah, espérant déceler entre eux un signe d’affection.
Enfin elle voudrait savoir…. La question lui brûle les lèvres ! Mais finalement, après avoir passé une bonne soirée, elle rentre chez elle perplexe et sans avoir rien demandé….
Quelques minutes après son départ, Sarah débarrasse la table et s’aperçoit que manque la louche en argent offerte par sa grand-mère ! Elle cherche avec beaucoup de soin, puis, gênée, en fait part à David. David n’ose appeler sa mère, alors il lui adresse un courrier embarrassé :
« Ma chère maman,
Je ne dis pas que tu a pris la louche en argent de Sarah,
je ne veux pas dire non plus que tu ne l’as pas prise ;
mais le fait est que quand tu es arrivée
il y avait cette louche, et après ton départ, elle n’était plus là. »
Quelques jours passent puis il reçoit la réponse de sa Maman :
« Mon cher fils,
Je ne dis pas que tu couches avec Sarah.
Je ne veux pas dire non plus que tu ne couches pas avec Sarah.
Mais si Sarah, elle dormait dans son lit, elle l’aurait sûrement trouvée, sa louche en argent ! »
Un homme se présente à un cabinet de psychanaliste : il se plaint de ne plus pouvoir dormir la nuit. Le psy lui demande :
” — Qu’est-ce qui vous gène exactement ?
— Eh bien, dès que je suis couché je sens qu’il y a un homme sous mon lit.
— Mais, vous l’avez vu, cet homme ?
— Non, justement : avant de me coucher, je vérifie toujours mais il n’y a rien. Mais dès que je m’allonge je sens qu’il arrive.
— Ne vous inquiétez pas : une hallucination légère ça se traite en quelques séances d’analyse.”
Quelques semaines passent sans que le ’malade’ ne revienne chez le psy, qui finit par croiser son ancien client dans la rue :
” — Vous n’êtes pas revenu me voir, est-ce que ça va mieux ?
— Oh oui, je dors comme un bébé.
— L’homme sous votre lit a disparu ?
— Complètement, oui.
— Comment avez-vous fait pour le faire disparaitre ?
— Oh c’est simple : quand j’ai appris le prix de vos services, j’ai été demander conseil au rabbin.
— Et alors ?
— Alors il m’a dit de couper les pieds du lit.”
Goldstein veut absolument être admis dans un club très select et très antisémite. Il va même jusqu’à changer son nom. Fin prêt, il présente sa candidature.
— « Bonjour, je voudrais faire une demande d’admission dans votre grande institution.
— « Certainement, monsieur, répond l’employé en s’emparant d’un formulaire. Puis-je vous demander votre nom ?
— Philippe de la Closerie.
— Très bien, monsieur de la Closerie, et puis-je vous demander quelle est votre profession ?
— J’ai une affaire d’import-export.
— Excellent, monsieur, et puis-je vous demander votre adresse ?
— 110, rue Saint-Dominique, à Paris 7ème.
— Très bien, monsieur. Excusez-moi, mais je suis obligé pour le règlement de vous poser une dernière question, j’espère vous ne le prendrez pas mal : quelle est votre religion ?
— Ma religion ? Oh, je suis goy…
Sur un radeau à la dérive, deux naufragés sont au bord du désespoir. L’un d’eux se met à genoux pour implorer le ciel :
— « Seigneur, j’ai été un affreux mécréant. Si vous me sauvez, je vous promets de consacrer le reste de ma vie à me racheter. Je mènerai une vie de pénitence. Je me retirerai dans un monastère. Je … »
À ce moment, l’autre lui frappe son épaule :
— « Arrête ! Voilà un bateau qui arrive… »
C’était au temps d’Abraham. Loth errait dans la vallée du Jourdain, seul, n’ayant personne à qui parler.
Alors il s’agenouilla dans le désert et s’adressa à Dieu :
« Seigneur, envoyez-moi une créature – un serpent, une girafe, un hippopotame, n’importe quoi, mais que j’aie quelqu’un à qui parler… »
Et en un éclair apparut un chien.
« Merci Seigneur ! », s’exclama Loth.
Il regarda le chien qui remuait la queue, puis il dit :
« Tu es joli. Je t’appellerai Vinaigra – ce qui en hébreu veut dire “Fidèle compagnon”–.
Et il repartit pour errer dans le désert avec le chien.
Néanmoins, au bout de quelques jours, la solitude le reprit. N’en pouvant plus, il s’assit sur un rocher, mit sa tête dans ses mains et des larmes commencèrent à couler.
À ce moment-là, le chien s’approcha pour le consoler, et Vinaigra lécha Loth.
Un homme se fait construire une taverne juste en face du cimetière.
Pour faire sa publicité, il place une enseigne disant :
« Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, on est mieux ici qu’en face ».
Voyant cela, le curé place lui aussi une enseigne à l’entrée du cimetière. On pouvait y lire :
« Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, tous ceux qui sont ici viennent d’en face ! ».
Il était une fois quatre individus qu’on appelait
*Tout le monde* – *Quelqu’un* – *Chacun *- et *Personne*.
Il y avait un important travail à faire,
Et on a demandé à *Tout le monde* de le faire.
*Tout le monde* était persuadé que *Quelqu’un* le ferait..
*Chacun *pouvait l’avoir fait, mais en réalité *Personne *ne le fit.
*Quelqu’un *se fâcha car c’était le travail de *Tout le monde* !
*Tout le monde* pensa que *Chacun *pouvait le faire
Et *Personne *ne doutait que *Quelqu’un* le ferait ?
En fin de compte, *Tout le monde* fit des reproches à *Chacun*
Parce que *Personne *n’avait fait ce que *Quelqu’un* aurait pu faire.
*** MORALITÉ ***
Sans vouloir le reprocher à Tout le monde,
Il serait bon que Chacun
Fasse ce qu’il doit sans nourrir l’espoir
Que Quelqu’un le fera à sa place.
Car l’expérience montre que
Là où on attend Quelqu’un,
Généralement on ne trouve Personne !
Je vais transférer cette réflexion à tout le monde afin que chacun puisse l’envoyer à
quelqu’un sans oublier personne
Un saint arrive au paradis. Seulement voilà… il a un problème dont il va entretenir le grand saint Pierre :
— Grand Saint Pierre, il y a des tas de saints qui ont un succès fou sur la terre : les fidèles leur récitent des neuvaines, demandent leur intercession, leur sculptent des statues ! Mais moi, personne ne me connaît ! Personne ne va jamais rien me demander… »
Saint Pierre, ému, lui donne un petit conseil :
— Écoute, ce n’est pas bien compliqué : fais-toi faire des cartes de visite et descends les distribuer sur la terre. Comme ça les gens te connaîtront et ils s’adresseront à toi. Fais simplement attention de ne pas les distribuer aux imbéciles ! »
Tout heureux, le saint se fait faire des cartes de visites, descend sur terre pour les distribue et remonte au ciel en attendant de recevoir des prières pour les exaucer..
D’après vous, qui est ce saint ?
… … …
Ça ne vous pose pas de problème de ne pas avoir reçu la carte ?
Imaginez que chaque matin, une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros… Il y a simplement deux règles à respecter :
Première règle : tout ce que vous n’avez pas dépensé dans la journée vous est enlevé le soir. Vous ne pouvez pas tricher, vous ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte, vous ne pouvez que le dépenser mais chaque matin au réveil, la banque vous rouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86 400 euros pour la journée.
Deuxième règle : la banque peut interrompre ce « jeu » sans préavis ; à n’importe quel moment elle peut vous dire que c’est fini, qu’elle ferme le compte et qu’il n’y en aura pas d’autre.
Que feriez-vous ?
Il y a grandes chances que vous dépensiez chaque euro à vous faire plaisir et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez. Vous feriez en sorte d’utiliser chaque euro pour apporter du bonheur dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.
Cette banque magique, eh bien, elle existe vraiment !
et nous l’avons tous : c’est le temps !
Chaque matin, au réveil, nous sommes crédités de 86 400 secondes de vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir, il n’y a pas de report. Ce qui n’a pas été vécu dans la journée est perdu, hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence.
Et nous jouons avec cette règle incontournable : à tout moment, la vie peut s’arrêter.
Alors… que faisons-nous de nos 86400 secondes quotidiennes ?
Un Écossais demande à un passeur de lui faire traverser le lac de Tibériade.
— C’est deux cents dollars, dit le batelier.
— Vous êtes fou : c’est bien trop cher !
— Cher, peut-être ; mais souvenez-vous que c’est ici que Jésus a marché sur les eaux…
— Pas étonnant, grogne l’Écossais. Avec des tarifs pareil, il a préféré se débrouiller tout seul !
Cela se passe à Rome. Une femme “pieuse”, mais un brin bavarde, vient se confesser régulièrement à saint Philippe Neri. C’est toujours la même chanson :
— Mon Père, j’ai péché par médisance … Mon Père j’ai calomnié.
Un jour, le Père Philippe, flairant la confession de routine sans grande contrition, lui donne comme pénitence d’acheter une poule, de la tuer, et de parocurir la ville en répandant les plumes en chemin.
Très étonnée, la pénitente s’exécute.
Une semaine plus tard, re-confession. Même routine. Le saint confesseur lui donne alors comme pénitence de refaire le même chemin que la semaine précédente en ramassant toutes les plumes qu’elle avait répandues.
— C’est imposssible, objecte la dame, elles se sont envolées !
— C’est la même chose avec vos calomnies, madame. Une fois qu’on a dit du mal de quelqu’un, ça se répand et c’est impossible à rattraper !
Un personnage célèbre avait fait constuire une villa dans un petit village de montagne. Le curé du coin en avait entendu parler mais ne l’avait encore jamais aperçu à la messe du dimanche.
Un beau jour, enfin, traversant le bourg à pied , il le croise, et la célébrité salue l’ecclésiastique, ma foi, fort courtoisement. Celui-ci n’est pas dupe, et répond :
— … Je n’ai pas encore eu la joie de vous voir à la messe …
— Ah non ! Mr le Curé, la messe, je n’y vais pas : c’est plein d’hypocrites à l’église !
Et le curé de répondre :
— Oh, vous savez, monsieur, il y a toujours de la place pour un de plus !
On raconte qu’à un dîner officiel, le futur Jean XXIII se trouvait à côté d’une femme outrageusement décolletée. À la fin du repas, on faisait circuler les fruits. Il prend une pomme et l’offre à sa voisine.
— Merci, mais je n’en veux pas, dit-elle.
— Prenez-la, j’insiste …
— Mais pourquoi ?
— Parce que c’est seulement en mangeant la pomme qu’Ève s’aperçut qu’elle était nue !
À un diplomate nouvellement accrédité qui lui demandait combien de personnes travaillent au Vatican, Jean XXIII répondit :
— Oh… environ la moitié !
(Authentique)
Un soir, Christophe, cinq ans, fait sa prière avec sa grand-mère dans sa chambre, quand sa maman, qui n’est pas croyante, passe dans le couloir.
Il l’appelle et lui dit :
— Tu sais, maman, c’est très facile de téléphoner à Jésus !
Sa maman, un peu sceptique, lui répond :
— Ah bon, et tu connais son numéro ?
— Mais oui, dit Christophe, c’est : “Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit” …
(Authentique)
Un pasteur est en train de se noyer au milieu d’un fleuve. Par chance passe une péniche qui lui envoie une corde : “accrochez vous !”, lui lance le batelier. Le pasteur répond :
— Je vous remercie mon, fils, mais je fais confiance à Dieu pour me sauver”.
Le pasteur est toujours en train de se débattre lorsqu’un passant en voiture
lui jette une bouée de la berge : “accrochez vous !”, lui lance le passant.
Le pasteur répond :
— Je vous remercie mon, fils, mais je fais confiance à Dieu pour me sauver”.
Le pasteur commence à boire la tasse et à s’enfoncer dans l’eau lorsqu’un hélicoptère arrive et lui envoie une corde : “vite, accrochez vous, !”
Le pasteur répond entre deux tasses :
— Je vous remercie (bloub) mon, fils, mais je fais (bloub) confiance à Dieu pour me (bloub) sauver”.
Puis soudain, le pasteur se noie…
… arrivé au paradis, le pasteur rencontre Dieu, et lui dit :
— dis-donc Seigneur, tu m’as bien laissé tomber tout à l’heure !
— Comment ça ?” lui répond Dieu… Je t’ai envoyé une péniche, une voiture et un hélicoptère et je t’ai laissé tomber ?”
Un curé rencontre une de ses paroissiennes qu’il ne voit jamais à l’église. Comme il s’en étonne, la dame lui déclare :
— Voyez-vous, Monsieur le curé, je suis croyante mais je ne pratique pas.”
— C’est comme moi, répond le curé : je suis nudiste, mais je ne pratique pas.”
Une paroisse fête l’arrivée de son nouvel organiste. À l’issue de la messe dominicale, le curé discute avec un paroissien mélomane des qualités musicales de l’organiste. Le paroissien éclairé lui répondit :
— C’est un musicien qui applique strictement la Bible : sa main droite ignore absolument ce que fait sa main gauche !
Mark Twain faisait un jour une conférence dans l’Utah. Il eut une grande discussion avec un mormon sur la polygamie. Cet homme lui lança :
— Pouvez-vous me citer un seul passage de la Bible interdisant la polygamie ?
Mark Twain, un peu narquois, lui répliqua avec un pointe d’humour :
— Nul ne peut servir deux maîtres à la fois.
C’est un petit monsieur juif avec l’accent qui rencontre une belle américaine et qui lui dit :
— Madame je serais heureux d’avoir un rendez-vous avec vous demain !
L’américaine lui répond :
— Never !!!
Alors le monsieur juif :
— Disons never, never et demie.
C’est un pauvre pécheur qui arrive devant Dieu et qui lui demande :
— Dieu, c’est quoi pour toi l’éternité ?
— Pfff ! L’éternité, pour moi c’est une seconde.
— Dieu, c’est quoi pour toi un million de million de dollars ?
— Pfff ! Pour moi c’est un dollar.
— Houlala, Dieu, t’as pas un dollar ?
— Attends une seconde.
— “Monsieur le commissaire, je ne sais plus qui je suis…
Mon père est maire, ma tante est sœur,
j’ai un cousin qui est frère et mon frère est masseur.
Comment voulez-vous que je ’y retrouve !?!…”
Simon Bensoussan est en voiture en plein Sentier à Paris et cherche désespérément une place pour se garer. Il fait le tour, il attend, il va chercher un peu plus loin, rien…
Il a un rendez-vous d’affaires très important et il risque de se mettre en retard. Mais rien, aucune place !
Désespéré, il regarde vers le ciel et implore :
“Mon Dieu, si tu me trouves une place de parking dans les cinq minutes, je te promets de ne plus faire d’écart et de manger toujours kasher, de faire Chomer-Chabat, de respecter Yom-Kippour et toutes les fêtes juives…”
Et alors — Ô miracle ! — une place se libère juste devant lui !
Alors Simon lève les yeux vers le ciel et dit :
— “Cherche pas, mon Dieu, j’ai trouvé !”
Un cardinal monte au paradis. On s’occupe des formalités, jusqu’au moment où il doit aller dans sa nouvelle demeure. Le bureau d’attribution des maisons célestes lui montre sa future maison, un petit F2, avec une place de parking, pas génial, quoi…
Alors le cardinal s’étonne, regarde autour de lui, et aperçoit une maison fantastique, sur 3 étages, avec jardin, piscine et tennis. Alors il se met en colère, et demande :
— C’est à qui cette maison ?
— C’est à Bernard Grololo…
— Quoi, Bernard Grololo, le chauffeur de bus ?
— Oui oui…
— Non mais, vous n’avez pas honte, moi un cardinal, j’ai seulement un F2 et lui il a une superbe maison ?
— Oui, mais toi, en bas, quand tu disais ta messe à l’église, tout le monde dormait. Lui, quand il conduisait, tout le monde faisait sa prière…
Un rabbin et un prêtre entrent en collision lors d’un accident de voiture. Les deux voitures sont complètement démolies mais, curieusement, aucun des deux hommes n’est blessé.
Après que chacun se soit extirpé de sa voiture, le rabbin voit la petite croix argentée sur le revers de la veste du prêtre et lui dit :
— “Ah vous êtes prêtre. Je suis rabbin. Regardez nos voitures. Il n’en reste rien, mais nous ne sommes pas blessés. Ce doit être un signe du tout-puissant. Dieu a du vouloir que nous nous rencontrions, devenions amis et vivions en paix pour le reste de nos jours.”
— “Je suis entièrement d’accord avec vous. Ce doit être un signe de Dieu.”
Le rabbin poursuit :
— “Regardez. C’est encore un miracle. Ma voiture est en morceaux, mais cette excellente bouteille de vin d’Israël est intacte. Dieu veut certainement que nous buvions ce vin et célébrions notre bonne chance.”
Il ouvre la bouteille et la tend au prêtre. Le prêtre est d’accord et en boit quelques grosses gorgées (l’émotion, la chaleur), puis rend la bouteille au rabbin. Le rabbin prend la bouteille, la rebouche puis la rend au prêtre.
Le prêtre demande :
— “Vous n’en buvez pas ?”.
Le rabbin répond :
— “Non… Je crois que je vais attendre la police.
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