Birmanie : alors que les évêques appellent à la paix, la répression militaire continue

La paix est possible. La paix est la seule voie et la démocratie est la lumière de cette voie.

C’est la position exprimée le 3 février dernier dans un message publié par le cardinal Charles M. Bo, archevêque de Rangoun et président de la conférence des évêques birmans, deux jours après le coup d’État militaire qui a renversé Aung San Suu Kyi lundi 1er février.

Mais la répression continue. Ainsi Sœur Ann Nu Thawng, religieuse catholique, qui s’était interposée entre les forces armées et les manifestants le 28 février afin d’empêcher un bain de sang, n’a rien pu faire le 8 mars dernier alors qu’un manifestant est abattu en pleine rue par les forces armées birmanes.

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